Une nouvelle année ukrainienne commence sur les fronts du soutien politique et de l’économie. BHL propose un plan d’aide.
Depuis huit ans, c’est le combat de sa vie : l’intellectuel engagé lui consacre un deuxième long-métrage, « Slava Ukraini », vive l’Ukraine.
Comme un nouveau Sarajevo, Alep, qui fut la deuxième ville de Syrie, est en train de mourir sous les yeux de l’Europe qui laisse faire.
Nouvelle rencontre avec Petro Porochenko, au palais présidentiel de Kiev, dans ce bureau au décor un peu kitsch où nous nous voyons chaque fois.
À l’institut d’Études Politiques de Paris, lors du colloque international « La Seconde Guerre mondiale dans le discours politique russe », BHL dénonce le révisionnisme des idéologues du Kremlin, ces « mercenaires au service d’une politique, embrigadés par une dictature d’un nouveau type ».
La mémoire, outil de la construction européenne. « Les petits soldats » de Margolin. Fayard renonce « à toute nouvelle édition et publication » d’un livre.
Le philosophe revient d’Ukraine. Il y a vu la défaite de Poutine. L’on peut s’attendre, prévient-il, à ce que le dictateur pratique la politique de la terre brûlée.
Sur la route de Kiev, l’écrivain et militant humaniste a rencontré ceux qui luttent et ceux qui ont survécu à l’horreur.
À l'occasion de la lecture de sa pièce, « Hôtel Europe » à Odessa, Bernard-Henri Lévy a rencontré le président ukrainien Petro Porochenko. Voici le communiqué de presse de la Présidence.
Quand Petro Porochenko monte sur la scène de l’Opéra de Kiev à l'issue de la représentation de la pièce « Hôtel Europe », c’est un ami qui donne l’accolade à un ami ; et c’est le Président de l’Ukraine qui adresse un bel hommage à l’un des plus ardents soutiens de son pays : Bernard-Henri Lévy.
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